Le second comité de pilotage du projet Richerand s’est réuni le 21 juin. Par leur présence en nombre, les partenaires pressentis ont marqué de l’intérêt pour le projet .
Les activités sociales des énergies électriques et gazières étaient naturellement très impliquées, avec 6 représentants. Les usagers étaient représentés par la présidente régionale du Collectif Interassociatif Sur la Santé (CISS Ile-de-France) et par le Comité de soutien du CNS.
Les institutions de santé étaient présentes au grand complet, avec la CPAM de Paris et l’ARS Ile-de-France. Le conseil de Paris était représenté par Hélène Bidard, adjointe d’Anne Hidalgo notamment en charge des victimes, et par le directeur de cabinet de Bernard Jomier, adjoint en charge de la santé.
Du côté des hôpitaux on ne comptait pas moins de trois Directeurs Généraux de Groupes Hospitaliers. A savoir le GH Diaconesses-Croix-Saint-Simon et la Fondation Ophtalmologique Rothschild pour les hôpitaux privés à but non lucratif (appelés aussi ESPICs), et le GH Lariboisière-Saint-Louis-Fernand-Widal pour l’APHP.
L’Institut de Victimologie était représenté par son président et sa directrice, tandis que l’Association Parcours d’Exil, nouvelle venue parmi les partenaires potentiels avait délégué sa présidente.
La composante scientifique et universitaire était elle aussi présente avec l’IRDES, l’Institut Jean-François REY de recherche des centres de santé, ainsi que les départements de médecine générale des deux Universités partenaires, Denis-Diderot Paris-7 et Pierre et Marie Curie Paris-6.
Deux personnalités qualifiées complétaient le tour de table. Dans le domaine de la qualité et de la sécurité des soins d’une part et dans celui de l’économie sociale avec le délégué à l’Innovation de la Confédération Générale des Scoop.